Florence GUÉLENNOC court contre le cancer
Aujourd’hui, rencontre avec Florence GUÉLENNOC, qui participe au marathon de New-York le 5 novembre. Apprenez en plus sur son parcours et sur le pourquoi de sa démarche !
Florence et ses proches qui vont réaliser le marathon de New-York.
Bonjour Florence, pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je m’appelle Florence GUÉLENNOC. J’ai 51 ans, je suis assistante de direction et j’ai 3 enfants. Je jongle entre Quimper et Guilligomarc’h. En fin d’année 2022, lors de la mammographie proposée par la sécurité sociale, le coup de massue en apprenant que j’ai un cancer du sein ! Beau cadeau de noël !
Pouvez-vous nous présenter votre projet ?
J’ai toujours affirmé que mon rêve serait de courir le marathon de New-York. C’est une épreuve tellement mythique dans une vie. Lors d’un rassemblement familial à Landéda il y a quelques années, en parlant de ce projet, j’ai les retours suivants : moi aussi j’aimerais le courir, moi aussi… Au final nous serons 9 coureurs de la famille et 18 au total avec les accompagnants à accomplir ce rêve! Je suis donc très très fière que mon fils, mon frère, mes neveux et ma nièce participent à cette course. Ce sera de beaux moments de partage pour nous tous !
Pourquoi souhaitez-vous courir pour la Ligue contre le cancer du Finistère ?
J’ai créé avec l’aide des élèves de la section bac professionnel imprimerie Les Apprentis D’Auteuil de Priziac, avec leur professeur Jean-François Hamon, un T-shirt. Il sera commun à nous tous, et nous le porterons donc tous le jour J. Le Logo de la Ligue contre le cancer du Finistère y sera entre autres apposé. L’association et les bénévoles de Quimper m’ont tellement soutenue, aidée et écoutée. C’était toujours un bonheur d’aller dans l’appartement très cosy en face de l’Odet et d’avoir le privilège de bénéficier de tous les soins (esthétique, réflexologie plantaire, sophrologie, nutrition…). Je souhaite donc courir pour La Ligue et faire un pied de nez au cancer !
Que vous apporte la course à pied ?
La course à pied me procure un bien-être général, la découverte de paysages et c’est un sport que l’on peut pratiquer n’importe où ; il suffit juste d’avoir des chaussures !
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Oui je souhaite dire aux femmes et aux hommes qui ont un cancer que le sport contribue énormément à une guérison plus rapide. Même fatiguée avec les traitements, j’ai continué à courir à mon rythme, à marcher tous les jours et ça m’a beaucoup aidée à avoir le moral et à aller de l’avant.
Nous souhaitons bon courage à Florence et ses proches pour cette incroyable aventure !
